Chantier pommes… les années se suivent et ne se ressemblent pas !

Publié le 05 novembre 2022

Au fil des années, nos liens se font plus forts avec les frères de la Communauté de Timadeuc. Nous venons en renfort pour des chantiers – ils nous portent, humainement, spirituellement, matériellement ! Nous étions heureux cette année de profiter de leurs pommiers pour compléter notre récolte.

Chapitre premier : en soutien auprès des frères de Timadeuc

8h00… le doux ronronnement du moteur de notre fidèle Ivéco nous berce et nous emmène tranquillement vers notre destination : l’abbaye de Timadeuc. Objectif : ramassage de pommes dans le verger entretenu par les moines dont la bienveillance et la gratitude nous accueillent dès notre arrivée.

Au travail maintenant !

Qu’importe notre fragilité physique ou mentale, nous puisons nos forces dans l’unité de notre groupe et notre joyeuse foi en Dieu. Un sourire, un regard un conseil, tout, nous prenons tout, tant notre cœur est grand ouvert.

17h00… Nous avons ramassé 11 tonnes de pommes de différentes variétés avec l’aide, dans l’après-midi, des moines de Timadeuc. Cela leur servira à la confection de leur réputée et fameuse pâte de fruits.

Nous les saluons alourdis de fatigue et de deux énormes fromages affinés par leurs soins.

Second chapitre : Notre jus de pommes

Un mois plus tard… voici venu le temps du pressage et de l’embouteillage de nos pommes : « chef Nico » a tout prévu et chacun d’entre nous a participé à la préparation de cet évènement direction Réguigny. Une famille nous accueille joyeusement.

10h00… les machines se mettent en route, impuissantes, sans notre volonté et notre détermination à proposer ce fameux jus de pomme dont nous sommes si fiers. La production de jus est au-delà de nos espérances ! 972 bouteilles destinées à notre consommation et à celle que nous offrons aux personnes chères à nos cœurs.

17h00… de retour au Village Saint-Joseph nous rendons grâce à Dieu pour tous ses bienfaits qu’il nous a accordés aujourd’hui, hier et demain… Un seul mot nous vient à l’esprit : MERCI

Olivier, du foyer Ephèse